Gros bobo ! [PV : Medical Chainsaw]

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Quelle belle journée de fin d'été. Il faisait bon. Tout juste bon. Ni trop chaud, ni trop froid
Au loin, dans le ciel, on voyait des nuages gris qui arrivaient. J'étais dans la Foret Everfree. Dans le QJ général des Shadow Bolts. Prit par l'envie de voler par ce beau temps, je décida alors d'en profiter pour m'entrainer à la voltige. Je pris mon élan et alla à la rencontre du ciel. Je réfléchis quelques instants à des figures que je pourrais faire. J'ai décider de prendre de l'altitude et de redescendre avec beaucoup de vitesse à pic. C'était une figure célèbre, de prendre beaucoup de vitesse et ensuite à quelques centimètres des arbres, de reprendre une vitesse normal en frôlant les arbres. Mais ma figure n'a pas fonctionné correctement. Je n'ai pas assez anticipé, et je suis tombé dans les arbres. Mon aile droite était endommagé. Elle était plié en deux. Je hurla de douleur. Je me releva et examina mon aile comme si c'était un extraterrestre. Je décida d'aller à Poney Ville pour ensuite rejoindre l’hôpital.

Arrivé au petit village, je suivis la direction des panneaux vers ''Hôpital'' et, ensuite, quelques mètres plus loin, j'arrive enfin à l'immense bâtiment. J'ouvris la porte d'entrée, et alla voir la secrétaire. C'était une très jolie poney, il fallait l'avouer. Je lui demanda par ou il fallait aller pour rejoindre les urgences. Elle m'indiqua une direction du bout du sabot. Je suivis la direction, et arriva dans une salle d'attente. Deux patients étaient devant moi. Un était un vieux poney qui semblait avoir mal à la patte avant droite, et l'autre était une licorne qui s'était coincé la corne dans une porte et qui à depuis, horriblement mal. Je m'installa donc dans un des jolies sièges rouges. Je pris une revue. La revue s'intitulait : ''100% Déco''. Par ennuie, même si je n'aurais jamais fait ça en temps normal, je feuilleta donc la revue pour passer le temps. J'entendais des petits rires moqueurs autour de moi, mais je m'en fichais. Je lisais donc pour oublier la douleur, le temps d'attendre patiemment.

C'est à mon tour. J'entra dans une petite salle avec un lit, et plein de machine qui ne servais à je sais pas quoi. Une licorne m'attendait à l'intérieur. Il me demanda alors :

-Ohhh ! Quelle jolie petit pégase nous avons là ! Dit moi petit, qu'as-tu ? Si tu ne pleurs pas tu auras une sucette !

J'avais oublier que je portais mon uniforme des Shadow Bolts. Pas grave. Je roulais des yeux en entendant qu'il allait me donner une sucette si je ne pleurais pas et que je resterais tranquille. Je lui dis alors, essayant d'être calme, m'empêchant de pleurer :

-Je crois que mon aile est casser, mec !

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La journée était belle et ensoleillée, Je m'étais levé une fois de plus avec le sentiment que du travail m'attendait à la clinique. Contrairement aux autres poneys, je ne le prenais pas comme une tâche monotone qui se répétait chaque jour. Non, pour moi, c'était plutôt un jeu très amusant qui plus est! Et le pire dans tout ça, c'est que je rendais service à des gens! Voir même sauvais des vies! Je m'étais donc levé, avait enfilé ma tenue de chirurgien, nourris mes colombes pour enfin partir au travail. Arrivé à l’hôpital, je ne pris pas le temps de jeter un coup d’œil à la salle d'attente, sachant que mon assistant m'appellerai en cas de besoin. Je pris donc place à mon bureau dans une petite salle reliée au bloc opératoire. La partie la moins amusante du "jeu" commençait : paperasse, paperasse et tiens! encore de la paperasse... Remplissant tout une pile d'ordonnances diverses et variées. De plus il fallait changer le matériel usé/défectueux, quelques patients passèrent sur le billard, ne jugeant leurs blessures pas assez graves pour moi, je les laissaient au bon soin de mon assistant. Je commençait à remplir un nouveau formulaire de commande quand une phrase me fit lever l'oreille :

-Je crois que mon aile est casser, mec !

En posant mes deux sabots avants sur le bureau, je pris appui sur ce dernier. M'adressant à mon assistant, je lui dit de mon fort accent Ollemand :

-Laisse moi faire, c'est pas pour les jeunots comme toi ce genre d'opérations.

Il me laissa seul avec le patient dans le bloc. Le patient en question était un jeune pégase d'une douzaine d'années. Vu l'état de son aile, il avait raison, cette dernière était brisée.

-Tout va bien se passer mon petit kinder, si tu as mal c'est normal. Ça devrait picoter un petit peu, haha pourquoi je dis un petit peu?. Dis-je en me saisissant d'un marteau. D'un coup sec je frappe l'aile au niveau du pli qui ne devrait pas être là. La remettant droite. Maintenant en bonne position, il ne me restait plus qu'à faire une entaille, ce que je fis au scalpel, histoire de rester soft. Une fois l'entaille faite, je me saisis du übergun, le mettant en marche tout en visant l'ouverture.

-ÜBER!! hurlais-je, faisant peur aux patients en salle d'attente. Ma corne s'alluma, et la magie fit le reste. L'os se ressouda et l'entaille se referma. Mission accomplie, comme d'habitude.

-C'est terminé, tu peux te remettre à voler désormais! Annonçais-je d'un ton rassurant.

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[hrp : J'avais dit que tu avais une phrase, mais c'est pas grave comme c'est ton premier rpsur ce fofo Smile

]

Après m'avoir dit que je pouvais de nouveau voler, je me leva et fit bouger l'aile. La douleur me tortillait beaucoup, mais ça allait déjà mieux. Quel drame ! Il marcha en direction de la sortie. Ayant atteint la sortie, il sortit donc et essaya de voler. Il réussit à voler quelques centimètres, mais retomba lourdement comme une crêpe au sol. Il n'allait sûrement pas réussir à voler correctement d'ici quelques jours. Le docteur ne lui avait même pas mit de bandages ! Il décida de retourner voir le docteur, en furie. Il entra dans la salle sans même attendre dans la salle d'attente, arriva, et se mit à gronder au près du docteur :

Comment ça se fait que j'ai toujours aussi mal, et que vous ne m'avez même pas mit de bandages ?

Puis il poussa brusquement le poney qu'il était en train de soigner, s'assit et regarda en fronçant les sourcils le docteur. Pour vu qu'il me soigne ça correctement, et maintenant !
ci
[HRP : Comme tu as mis une fin assez directe, j'ai décider de rallonger....]

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Une fois le poulain parti, je dû continuer les consultations moi-même vu que mon assistant était parti. Une vieille mégère se plaignait de sa hanche douloureuse, elle commençait à me gonfler celle la, elle venait tout les deux jours, en tant que médecin, je voyais bien que son mal était factice, elle venait juste pour me piquer du matériel. Comme d'habitude, j'ai fait comme si j'y croyais. Une fois les faux soins administrés, j'allais lui appliqué une fausse pommade (on peut faire de ces trucs avec la mayonnaise) quand le poney à l'aile cassé de tout à l'heure enfonça la porte avant de viré la p'tite vieille du fauteuil.

-Comment ça se fait que j'ai toujours aussi mal, et que vous ne m'avez même pas mit de bandages ?

C'était une satisfaction d'être débarrasser de la vieille peau qui sortait du cabinet en râlant (c'est bizarre d'un seul coup, sa hanche ne lui faisait plus mal. Mais d'un côté, un nouveau défi médical se présentait à moi, le poulain noir avait toujours mal et ne pouvait pas voler.

-Étrange, j'ai peut-être une idée de ce qui t'arrive mon ami, mais je ne peux te le confirmer qu'après une expérience suis-moi. Lui dis-je.

Nous sortîmes pour arriver sur un petit terrain herbeux, assez grand pour galoper et voler.

-Cela sera surement douloureux mais si tu veux que je t'aide, tu vas devoir prendre ton envol. Tu me diras ensuite où tu as mal précisément, en fonction de ton comportement de vol et de la position de la douleur, je devrais pouvoir identifier ton mal. Et pour répondre à ta question : tu n'as pas besoin de bandage car tu as été soigné avec l'übergun, je t'expliquerai plus tard.

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Etant donner que le poney m'expliqua et me dit clairement que je devais à nouveau voler, bon à vraie dire je n'étais pas super heureux non plus mais bon si c'est pour que je guérisse, je soupira et courut à toute vitesse sur la prairie pour essayer à nouveau de prendre mon envol. Un fois au bout de la dune, je déplia mes ailes et essaya de planer avec le vent. Le vent me porta un instant dans les airs. Mais ce n'était qu'une bourrasque. J'étais en train de chuter dans les airs, alors, par pur réflexe, je battis des ailes, ayant ignoré un instant que je m'étais fait mal. La douleur étais fulgurante, mais je continuais à me débattre tout seul dans les airs. Je battis de nouveau, approchant toujours plus vite du sol. Si je m'écrasais au sol, je me casserais sûrement autre chose. Alors il fallait que je réussisse à enfin voler.

Je battis plus frénétiquement des ailes, mais une aile ne suivait pas comme j'avais tellement mal. L'autre me ralentissait quand même. C'était déjà ça, me dis-je à moi-même. Le docteur me regardais avec stupéfaction. Comme si quelques choses l'intriguait. Comme l'autre aile me ralentissait de la chute, je retomba enfin au sol, mais avec rien de cassé. Je me retourna et alla vers le docteur. Je lui demanda calmement, mais avec une poignée de joie, comme je ne m'étais pas étalé comme une crêpe au sol, une poignée d'interrogation, me demandant s'il fallait m'apprendre de nouveau à voler, et avec une pointe de tristesse, car cette journée n'anonçait comme un autre, alors qu'il y a eu ce drame :

-Ca vous suffit ?

Invité

Le poulain n'avait pas l'air d'apprécier que je lui demande de se r'envoler, mais s'il voulait guérir il n'avait pas vraiment le choix. Il prit donc de l'élan avant de galoper et de prendre son envole. Il avait bien commencé mais avait fini par chuter et a remué frénétiquement d'une seule aile. C'est là que j'ai eu le déclic, ce n'était pas qu'une simple fracture... Je devais avoir une sacré mine quand je me rendis compte de la gravité des faits. Pour vous faire un rapide résumé de la situation, la fracture de l'aile avait entraînée une réaction en chaîne, d'abord la torsion du ligament qui elle-même a entraînée un renfoncement de l'os qui est venu appuyer sur l’omoplate, causant non seulement la douleur intense de mon patient, mais qui avec le temps pouvait causer de graves séquelles au niveau de la colonne vertébrale. Une fois qu'il eu atterrie, il se dirigea vers moi avec un pointe de joie, pensant sans doute que j'allais trouver la solution rapidement pour son problème qu'il pense minime mais qui en réalité est bien plus grave qu'on ne le pensait. Puis il me dit :

"-Ca vous suffit ?"

-C'est plus que suffisant! lui dis-je en l'emmenant avec moi dans le bloc. Rapidement je lui résumait ma découverte en l'installant sur "le billard". En positionnant le übergun dans sa direction pour qu'il ne ressente aucune douleur pendant l'opération, je lui dit :

-Maintenant que les choses sont clairs comme de l'acide liquide que l'on jette sur un rat (expression Ollemande), il ne te reste plus qu'à être patient, l'opération va surement durée dans les soixante minutes. Sur ces mots je sorti mes outils et commença l'opération.

[HRP]Je reste soft, y des enfants qui regardent X)[HRP]

Invité

Maman, j'ai peur. Il avait sortit ses ''outils'' . J'étais allongée donc sur le lit, puis il faisait me fit piquer l'aile à l'aide d'une seringue sans même me prévenir. Surement pour m'anesthésier. Je me retins de hurler de douleur, car les piqûres, c'pas mon truc. Je ne sentis plus mon aile. C'était donc pour m'anesthésier. Qu'allait donc faire ce ~~FOUTU DE PUTIN DE MEDECIN~~ gentille monsieur ? Il me mit alors un truc sur la bouche pour m'endormir (je sais pas comment ça s'appelle, ui.). Après quelques secondes qu'il m'a mit le ''fermoir'' sur mes narines, je sentais mes paupières se fermer.

Je tentais de résister à l'envie de les fermer, car je savais que si je les fermais, ce serait trop difficile pour essayer de les rouvrir, après. J'entendais déjà la scie qui s'allumait. Soixantes minutes à essayer de luter comme ça contre le sommeil ? Impossible, il faudrait que je sois superpony.
Je ne supporterais pas une minute de plus comme ça. Autant fermer les yeux et me réveiller surement dans état surprenant je suppose, plutôt que de voir se ~~SADIQUE~~ me faire quoi que se soit. Je fermis les yeux et m'emporta au loin dans un cauchemar ou j'étais dans la même salle, avec la même licorne devant moi. Mais en faite, je me voyais du dessus. Je voyais mon corps en bas. La licorne s'approchait de moi de plus en plus, la scie dans les mains.
Mais tout d'un coup, une force m'attira ~~dans les contrées de la mort soudaine~~ au dehors de ce que je voyais. Puis, tout noir. [/font]